Logiques Publiques
favoriser la prévention pour une meilleure qualité de vie au travail

Favoriser l’appropriation de la culture de prévention pour améliorer la qualité de vie au travail

Le développement de la prévention primaire et de la culture de prévention doit constituer l’une des toutes premières priorités des organisations, et à plus forte raison avec la crise du Covid-19.

Logiques publiques milite activement auprès des équipes de direction, des managers et de leurs équipes, pour placer la prévention au cœur de leurs préoccupations, et de toutes leurs actions en partant des situations de travail réelles. Cette vision va bien au-delà du seul respect de la réglementation des normes de santé, et de sécurité au travail, une vision centrée sur la seule réparation.

Logiques publiques place sept principes fondamentaux au cœur de ses accompagnements, en vue d’élaborer les démarches de prévention :

  • Éviter les risques, c’est supprimer le danger ou l’exposition au danger ;
  • Évaluer les risques, c’est apprécier l’exposition au danger et l’importance du risque afin de prioriser les actions de prévention à mener ;
  • Combattre les risques à la source, c’est intégrer la prévention le plus en amont possible, notamment dès la conception des lieux de travail, des équipements ou des modes opératoires.
  • Adapter le travail à l’Homme, en tenant compte des différences interindividuelles, dans le but de réduire les effets du travail sur la santé.
  • Tenir compte de l’évolution de la technique, c’est adapter la prévention aux évolutions techniques et organisationnelles.
  • Planifier la prévention en intégrant technique, organisation et conditions de travail, relations sociales et environnement.
  • Donner les instructions appropriées aux salariés, c’est former et informer les salariés afin qu’ils connaissent les risques et les mesures de prévention.

Logiques publiques propose dans ce cadre à ses clients des outils très concrets reposant sur :

  • Le respect du salarié,
  • La transparence,
  • Le dialogue social et les bonnes pratiques de prévention

Plus globalement, l’intérêt fondamental accordé aux questions de prévention doit se lire à travers la construction de nos identités par le travail.

En effet, si le travail peut faire souffrir, c’est d’abord parce qu’il est porteur de nombreuses promesses, comme celle d’émancipation sociale par l’autonomie financière, ou d’accomplissement de soi.

Et c’est précisément parce que le travail est porteur de toutes ces promesses qu’il peut, dans des conditions négatives, être source de souffrances spécifiques et de destructivité massive, incompréhensibles de l’extérieur et souvent de l’intérieur, pour celui qui souffre. Parce que, les salariés, dans leur très grande majorité, souhaitent effectuer un travail de qualité qui soit reconnu. C’est pour cette raison que les critiques incessantes, surtout si elles sont injustifiées, peuvent déstabiliser même un salarié aguerri, ou faire qu’un travail en mode dégradé altère l’image de soi

La richesse du travail se situe en réalité dans l’écart entre le travail tel que l’on nous demande de faire, dit travail prescrit, et le travail tel que nous l’exécutons, dit travail réel. C’est dans cet écart que se déploient toute notre énergie personnelle, notre créativité et notre intelligence du réel, que vient se nicher la souffrance au travail en cas d’absence de reconnaissance de toutes ces taches.

Ce qui est en jeu dans la grande majorité des administrations et des entreprises aujourd’hui, c’est l’organisation du travail, qui, d’après les enquêtes épidémiologiques (études sur la Surveillance Médicale des Expositions des salariés aux Risques professionnels), constitue un déterminant majeur des risques psychosociaux.

C’est pourquoi Logiques publiques propose à ses clients d’axer ses accompagnements sur deux axes essentiels que sont :

  1. L’identification du ou des facteurs de risques pour les salariés au sein de leur organisation, à savoir
  • L’intensité du travail et le temps de travail,
  • Les exigences émotionnelles,
  • Le manque d’autonomie,
  • La mauvaise qualité des rapports sociaux au travail,
  • La souffrance éthique,
  • L’insécurité de la situation de travail.

L’objectif étant de mettre à jour les tensions entre le vécu des salariés, des responsables de l’organisation et des médecins du travail.

  • La mise en place d’outils permettant de détecter les causes du mal être des salariés
  • Historique du service,
  • Chrononogie de la dégradation de l’état de santé des salariés…
  • Analyse des pratiques organisationnelles,
  • L’aide aux salariés en difficulté à trouver les bons interlocuteurs auxquels s’adresser